Il est temps de reprendre les choses en main en ce 2 septembre 2008, à l’orée d’une nouvelle décennie et au crépuscule de pérégrinations estivales des plus agréables. Ce blog aura vécu à mon rythme pendant ces deux derniers mois : celui de farniente.
Mais après avoir pêché la crevette, fait du cormoran, être tombé amoureux du temps breton en même pas dix jours passés dans cette charmante ville qu’est Trebeurden, après avoir arpenté quelques sentiers sinueux des Alpes à croiser bouquetins, marmottes et paysages splendides, après avoir retrouvé une famille déjantée qui aime à se baffrer, à rire et se foutre de tout pendant quelques jours, il est l’heure de remettre le travail sur l’ouvrage et de repartir à la quête de ce chapeau, parce que bon, à la fin, ça suffit de savoir que je suis parti sans, j’aimerais bien le retrouver.
Mais après avoir pêché la crevette, fait du cormoran, être tombé amoureux du temps breton en même pas dix jours passés dans cette charmante ville qu’est Trebeurden, après avoir arpenté quelques sentiers sinueux des Alpes à croiser bouquetins, marmottes et paysages splendides, après avoir retrouvé une famille déjantée qui aime à se baffrer, à rire et se foutre de tout pendant quelques jours, il est l’heure de remettre le travail sur l’ouvrage et de repartir à la quête de ce chapeau, parce que bon, à la fin, ça suffit de savoir que je suis parti sans, j’aimerais bien le retrouver.
Pour ouvrir cette nouvelle année, commençons par un des disques qui aura bercé une bonne partie de mon mois d’août : ‘Peaceful, The World Lays Me Down’ de Noah and the Whale. Un album d’un groupe anglais, né sur les bords d’un des plus fameux stades de rugby du monde, aux contours folk pop, dans lequel on retrouve des réminiscences de pas mal de groupes actuels, de Beirut à Arcade Fire (oui, c’est léger, mais quand même) en passant par Jens Lekman. La voix de Charlie fait beaucoup penser à un mélange de celle d’Adam Green et de Micah Paul Hinson. D’ailleurs, c’est sûrement avec ce dernier qu’on trouvera le plus de liens, entre la voix, les ruptures des morceaux et les mélodies très travaillées (Peaceful, The World Lays Me Down est un titre somptueux qu’aurait pu composer le songwriter américain).
Ce disque revient constamment ces dernières semaines sur ma platine. Encore et encore. A peine plus de 40 mns, une qualité qui s’affine au fil des écoutes, des titres forts de partout, des touches mélodieuses à tomber dans chaque morceau. Ce premier album de Noah and the Whale est un peu mon Loney, Dear de 2008. Et si les styles ne sont pas vraiment comparables (le Suédois est beaucoup plus enjoué que ses homologues anglais), l’effet est le même : un disque de folk-pop à tomber et qui fait du bien par où il passe, avec ses chœurs, ses clappings, ses cordes qui pleurent et ses ruptures mélodiques. Un vrai bonheur. Rien de mieux pour attaquer une rentrée le plus sereinement possible. (sortie : le 11 août 2008)
Son :
Myspace (six extraits de ‘Peaceful, The World Lays Me Down’)
Site Officiel (très beau site)
Histoire de ne pas perdre les bonnes vieilles habitudes, deux morceaux en écoute. Délectez-vous donc de Give A Little Love et de Peaceful, The World Lays Me Down, deux titres pour se rappeler que cet été, bondieu, c’était bien (malheureusement plus en écoute).
Et la vidéo, toute belle, de 5 Years Time, qui aurait pu être l’hymne de cet été 2008, qui sent bon Wes Anderson (dont le groupe est fan), malheureusement plus disponible.
Chouette, ils passent à Edimbourg en octobre :)
RépondreSupprimerSalop... :'(
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