[Track of The Day] Alain Bashung - La Nuit Je Mens
On l'a vu dans le Vercors... sauter à l'élastique ... voleur d'amphores au fond des criques ... il a fait la cour à des murènes ... il a fait l'amour... il a fait le mort...
Oui, putain de nouvelle. Quant Lupus m'a prévenu, j'ai été sous le choc même si je m'y attendais, forcément. Tout le monde autour de moi l'était. Et puis je suis rentré chez moi, j'ai mis 'Fantaisie Militaire', le premier que j'ai eu sous la main. Et puis La Nuit Je Mens s'est lancée. Et puis sa voix, ce texte et le bijou des Valentins m'a mouillé les yeux. Et je me suis mis à pleurer. Putain de crabe ouais...
Quand Fantaisie militaire est sorti j'avais 11 ans, et je peux dire que je n'ai vraiment pas grandi avec Bashung, ni suivi sa carrière, donc je ne peux pas ressentir ce pincement au coeur qu'on a quand quelqu'un qui nous a accompagné, même de loin, disparaît. Mais ça ne m'empêche pas d'admirer et d'être touchée par les mots de ses chansons, par leur musicalité, et par la fluidité sensible de ses mélodies. Réécouter La nuit je mens sur ce site, ça m'a touché, et je me suis rappelé de la première fois que je l'ai entendu.. Le même jour j'avais écouté Madame rêve, et elles restent mes deux préférées.
Terrible nouvelle, morbide et angoissante. Rarement j'ai eu autant de peine après la mort d'un artiste dont je connaissais que l'oeuvre, et non le bonhomme, sa vie et qui réellement il était.
Bashung, le poète (le dernier ?) de la chanson made in France. Notre johnny "homme en noir" Cash français, épris des grands espaces, d'Américana. Quand je repense à lui, j'écoute "Comme un légo", ce long poème musical, ce petit bijou du dernier album.
"Sais tu qu'un salaud a bu l'eau des nénuphard...."
méchant crabe :(
RépondreSupprimerEt que vive la poésie!
Ma préférée de cet immense artiste. Il va pouvoir faire un sacré boeuf avec tous les grands là-haut.
RépondreSupprimerchef d'oeuvre absolu des arrangements de cordes somptueux et quelle voix
RépondreSupprimerOui, putain de nouvelle. Quant Lupus m'a prévenu, j'ai été sous le choc même si je m'y attendais, forcément. Tout le monde autour de moi l'était. Et puis je suis rentré chez moi, j'ai mis 'Fantaisie Militaire', le premier que j'ai eu sous la main. Et puis La Nuit Je Mens s'est lancée. Et puis sa voix, ce texte et le bijou des Valentins m'a mouillé les yeux. Et je me suis mis à pleurer.
RépondreSupprimerPutain de crabe ouais...
Quand Fantaisie militaire est sorti j'avais 11 ans, et je peux dire que je n'ai vraiment pas grandi avec Bashung, ni suivi sa carrière, donc je ne peux pas ressentir ce pincement au coeur qu'on a quand quelqu'un qui nous a accompagné, même de loin, disparaît.
RépondreSupprimerMais ça ne m'empêche pas d'admirer et d'être touchée par les mots de ses chansons, par leur musicalité, et par la fluidité sensible de ses mélodies. Réécouter La nuit je mens sur ce site, ça m'a touché, et je me suis rappelé de la première fois que je l'ai entendu.. Le même jour j'avais écouté Madame rêve, et elles restent mes deux préférées.
Ah, Madame Rêve...
RépondreSupprimerBashung is dead :
RépondreSupprimerTerrible nouvelle, morbide et angoissante.
Rarement j'ai eu autant de peine après la mort d'un artiste dont je connaissais que l'oeuvre, et non le bonhomme, sa vie et qui réellement il était.
Bashung, le poète (le dernier ?) de la chanson made in France. Notre johnny "homme en noir" Cash français, épris des grands espaces, d'Américana. Quand je repense à lui, j'écoute "Comme un légo", ce long poème musical, ce petit bijou du dernier album.
"Sais tu qu'un salaud a bu l'eau des nénuphard...."
A + !!!!!!!!!
Ah oui, forcément, comme un légo.
RépondreSupprimerMaintenant, pour la relève, et dans un genre différent, je mets "tapis" sur Florent Marchet.
Je ne le connaissais que guère. Mais "la nuit je mens" était aussi ma préférée.
RépondreSupprimerJ'ai mis d'ailleurs pour info la version live de sa tournée des grands espaces. Elle ausi magnifique. Si ce n'est plus.
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