On a tous un péché mignon. Tous. Une série télé sans intérêt qui nous passionne. Un roman de plage qu'on relit de temps à autres avec toujours le même plaisir. Un film à l'eau de rose qui nous touche on ne sait trop pourquoi, alors qu'objectivement c'est gnian-gnian au possible.
Je suis quelqu'un qui a plein de péchés mignons:
- au collège, fan de NBA que j'étais, j'ai lu et relu la biographie de Magic Johnson 'Ma Vie'. Jamais replongé dedans depuis cette époque là, mais j'en garde un très bon souvenir.
- en ce qui concerne les séries télés, je suis capable de me passionner pour n'importe quelle série à la Dawson, où règne bons sentiments et musique pop bien calibrée.
- quant au cinéma, mettez moi devant 'Coup de Foudre à Notting Hill' et je suis sur de passer une bonne soirée.
Ce qui ne m'empêche pas d'écouter, de lire, d'aimer, d'aduler des artistes d'une bien autre trempe, bien au contraire. Mais j'aime venir de temps en temps me lover dans ce genre de pièces artistiques d'un autre style.
En ce qui concerne la musique, j'ai deux - d'aucuns diront honteuses - addictions: les bluettes pop-rock qu'on peut retrouver à la fin de séries à succès donc (voir plus haut. D'ailleurs, ce blog en compte quelques unes disséminés ici ou là). Et le punk à roulettes qui flirte avec l'emo plus que de raisons.
Groupe ultime de la seconde catégorie à mes oreilles, Yellowcard. Un combo américain qui a déjà près de 15 ans de carrière derrière lui (sic!). Et qui depuis 2006 - et la découverte de 'Lights and Sounds' - est mon péché musical absolu.
Oh oui, je vois venir les pourfendeurs du bon goût rigoler à cet aveu. Et ils auront bien raison. Oui, Yellowcard c'est un peu facile: il y a ce violon qui virevolte un peu partout. Ces mélodies qui se ressemblent. Ces paroles un peu niaises. Cette batterie qui n'en peut plus de tambouriner. Et ces chansons réconfortantes et qui n'en finissent plus de vouloir trouver l'hymne parfait qui ferait chanter 80 000 jeunes ados américains en mal de sensations.
'When You're Through Thinking, Say Yes' est le nouvel album de Yellowcard. Un disque qui ne déroge pas au style de leurs précédentes sortie et qui oscille entre punk-à-roulettes, grunge de tous poils et rock mal léché, relevés de quelques pop-songs mélancoliques à faire craquer n'importe quel cœur un peu fleur bleue.
C'est efficace jusqu’au bout des ongles, niais jusqu’au fond du sillon. Mais c'est très bien fait. Vous détestez. J’adore. (sortie: 22 mars 2011)
D'ailleurs, en parlant de ça, quels sont vos péchés mignons à vous?
Je suis quelqu'un qui a plein de péchés mignons:
- au collège, fan de NBA que j'étais, j'ai lu et relu la biographie de Magic Johnson 'Ma Vie'. Jamais replongé dedans depuis cette époque là, mais j'en garde un très bon souvenir.
- en ce qui concerne les séries télés, je suis capable de me passionner pour n'importe quelle série à la Dawson, où règne bons sentiments et musique pop bien calibrée.
- quant au cinéma, mettez moi devant 'Coup de Foudre à Notting Hill' et je suis sur de passer une bonne soirée.
Ce qui ne m'empêche pas d'écouter, de lire, d'aimer, d'aduler des artistes d'une bien autre trempe, bien au contraire. Mais j'aime venir de temps en temps me lover dans ce genre de pièces artistiques d'un autre style.
En ce qui concerne la musique, j'ai deux - d'aucuns diront honteuses - addictions: les bluettes pop-rock qu'on peut retrouver à la fin de séries à succès donc (voir plus haut. D'ailleurs, ce blog en compte quelques unes disséminés ici ou là). Et le punk à roulettes qui flirte avec l'emo plus que de raisons.
Groupe ultime de la seconde catégorie à mes oreilles, Yellowcard. Un combo américain qui a déjà près de 15 ans de carrière derrière lui (sic!). Et qui depuis 2006 - et la découverte de 'Lights and Sounds' - est mon péché musical absolu.
Oh oui, je vois venir les pourfendeurs du bon goût rigoler à cet aveu. Et ils auront bien raison. Oui, Yellowcard c'est un peu facile: il y a ce violon qui virevolte un peu partout. Ces mélodies qui se ressemblent. Ces paroles un peu niaises. Cette batterie qui n'en peut plus de tambouriner. Et ces chansons réconfortantes et qui n'en finissent plus de vouloir trouver l'hymne parfait qui ferait chanter 80 000 jeunes ados américains en mal de sensations.
'When You're Through Thinking, Say Yes' est le nouvel album de Yellowcard. Un disque qui ne déroge pas au style de leurs précédentes sortie et qui oscille entre punk-à-roulettes, grunge de tous poils et rock mal léché, relevés de quelques pop-songs mélancoliques à faire craquer n'importe quel cœur un peu fleur bleue.
C'est efficace jusqu’au bout des ongles, niais jusqu’au fond du sillon. Mais c'est très bien fait. Vous détestez. J’adore. (sortie: 22 mars 2011)
D'ailleurs, en parlant de ça, quels sont vos péchés mignons à vous?
Son:
Myspace (Deux chansons de 'When You're Through Thinking, Say Yes' en écoute)
Site officiel
Deux chansons en écoute. Life of Leaving Home et son refrain à hurler à tue-tête et Sing For Me et ses guitares larmoyantes:
Et vu que c'est fête aujourd'hui, deux autres chansons. Hang You Up, le tube pop de 'When You're Through Thinking, Say Yes' et For You, and Your Denial, son pendant nerveux. (malheureusement plus en écoute)
Le vosne romanée, les pivoines, Hugh Grant et Andy mc Dowell sous la pluie dans 4 mariages et un enterrement, les Bounty, "Les jours où rien ne va" de Christophe, Twistounet, le sketch de Desproges avec la maison d'Ondine adossée au dos des dunes, les épisodes de "Buffy contre les vampires" où elle et Spike sont amoureux, Prince même dans ses titres les plus pompeux comme Cream, écouter la musique sur Youtube et tant d'autres vices...
RépondreSupprimerEPOUSE MOI! O_o
RépondreSupprimerTu vas rire mais dans la liste il y a surement les premiers Yellowcard (c'est mon côté Thursday).
RépondreSupprimerBon après là ça commence à faire beaucoup sur le dernier album :)
L'interprétation faite par Nicolas Sirkis de la chanson de Manset 'Entrez dans le Rêve', la crème de marron, Winnie l'ourson et ses copains, Mistinguette, 'Un jour sans fin' avec Bill, rester en pyjama toute la journée, apprendre des proverbes, William Sheller... voiloù pour les plus avouables ~(:- ))
RépondreSupprimer@ Benjamin: Je connais pas les premiers... Va falloir que je teste ca... :p
RépondreSupprimer@ Magali: La crème de marron, quand on traverse comme moi Privas tous les 2 mois depuis plus de 30 ans pour aller voir la fammille, j'approuve!