Quand on pense à la Suède, bizarrement, avant d’évoquer la Laponie, le coup d’état de 1772 ou Jean-Baptiste Bernadotte (maréchal français, élu héritier du trône puis roi de Suède sous le nom de Charles XIV Jean de Suède. C'est fou ce qu'on peut apprendre comme truc en flânant sur le web), on pense d’abord (cliché quand tu nous tiens) aux plantureuses blondes qui peuplent ce royaume nordique.
Amandine aurait pu être une de celles-ci. Une jeune fille aux formes parfaites, aux jambes interminables, au regard fragile mais perçant, dont on tombe amoureux au premier coup d’œil. Sauf que voilà, Amandine n’a rien d’une gravure de mode. Derrière ce nom féminin et aguicheur se trouve, à la base, un groupe suédois de quatre jeunes gens, banals et physiquement ordinaires, dernièrement - et officiellement - rejoint par Kristina Lundin au violon.
Leur folk-pop teinté d’americana a, au contraire, énormément de charme. Et c’est bien cela qui importe. Leur premier album était un petit bijou passé assez inaperçu. Leur Ep de l’an passé annonçait de bien belles choses. Mais de là à en espérer autant…
'Solace in Sore Hands' est en effet une des très belles réussites du premier semestre 2007, un de ces disques anodins par essence mais qui se révèlent au fil des écoutes délicieusement indispensable.
Essentiellement basé sur le mélange piano-guitare-cordes sur leur premier 'This Is Where Our Hearts Collide', 'Solace in Sore Hands', s’il garde peu ou prou la même structure, s’appuie principalement sur un banjo qui donne une sincérité plus grande au disque, palpable dès les premières notes de Faintest of Sparks (voir plus bas), petite bluette où chaque instrument semble parti de nulle part pour arriver, comme par miracle au même endroit le moment venu.
Entre riffs americana (marque de fabrique du premier album, moins présents ici), accordéon plaintif, violons et cuivres pleureurs (qui font merveille sur New Morning, voir plus bas), Amandine comble une nouvelle fois son auditoire. Et même si elle n’est sans doute pas la plus belle fille de Suède, elle n’en reste pas moins la plus charmante. (Sortie : 7 mai 2007)
Son :
Myspace
Site Officiel
Au hasard Balthazar, deux titres de cet album. Parce qu'on peut piocher n'importe où, il n'y a que des réussites (malheureusement plus en écoute).
Amandine aurait pu être une de celles-ci. Une jeune fille aux formes parfaites, aux jambes interminables, au regard fragile mais perçant, dont on tombe amoureux au premier coup d’œil. Sauf que voilà, Amandine n’a rien d’une gravure de mode. Derrière ce nom féminin et aguicheur se trouve, à la base, un groupe suédois de quatre jeunes gens, banals et physiquement ordinaires, dernièrement - et officiellement - rejoint par Kristina Lundin au violon.
Leur folk-pop teinté d’americana a, au contraire, énormément de charme. Et c’est bien cela qui importe. Leur premier album était un petit bijou passé assez inaperçu. Leur Ep de l’an passé annonçait de bien belles choses. Mais de là à en espérer autant…
'Solace in Sore Hands' est en effet une des très belles réussites du premier semestre 2007, un de ces disques anodins par essence mais qui se révèlent au fil des écoutes délicieusement indispensable.
Essentiellement basé sur le mélange piano-guitare-cordes sur leur premier 'This Is Where Our Hearts Collide', 'Solace in Sore Hands', s’il garde peu ou prou la même structure, s’appuie principalement sur un banjo qui donne une sincérité plus grande au disque, palpable dès les premières notes de Faintest of Sparks (voir plus bas), petite bluette où chaque instrument semble parti de nulle part pour arriver, comme par miracle au même endroit le moment venu.
Entre riffs americana (marque de fabrique du premier album, moins présents ici), accordéon plaintif, violons et cuivres pleureurs (qui font merveille sur New Morning, voir plus bas), Amandine comble une nouvelle fois son auditoire. Et même si elle n’est sans doute pas la plus belle fille de Suède, elle n’en reste pas moins la plus charmante. (Sortie : 7 mai 2007)
Son :
Myspace
Site Officiel
Au hasard Balthazar, deux titres de cet album. Parce qu'on peut piocher n'importe où, il n'y a que des réussites (malheureusement plus en écoute).
Très bel album et excellent groupe en concert.
RépondreSupprimerJamais vu tiens. Faudrait deja qu'il passe chez nous tu me diras...
RépondreSupprimerChez nous où ?
RépondreSupprimerIls sont passés à Paris il y a quelque mois ( et se sont fait ouvrir leur van et voler ce qu'il y avait dedans, du coup ils n'ont pas pu jouer en Angleterre les jours d'après... )
Ah ben zob, je savais pas. Je les ai raté honteusement raté.
RépondreSupprimerLa prochaine fois, ils auront qu'à faire une vraie tournée bondiou. On serait content de les voir à Lyon hein.