Alors que l'année touche à sa fin, alors que l'on peaufine son 'top albums 2007', revenons quelques instants sur un des disques de l'an passé. Un album auto-produit (en tout cas à l'époque puisqu'il a depuis trouvé un petit label indé) absolument divin, l’œuvre d'un jeune français touche à tout et au son mélodique très sur.
Pourquoi revenir là-dessus me direz-vous? Premièrement parce que l'artiste mérite franchement le détour, deuxièmement parce qu'à part sur certains webzine ce disque est honteusement passé inaperçu, troisièmement parce que cet album là revient régulièrement sur ma platine et enfin, dernièrement parce qu'il vient de se remettre au travail pour donner une suite à son 'Carbone' de 2006.
"Il", c'est Pumuckl (aka Stéphane Lherault), orléannais de son état. Un mec bluffant, tout simplement. Auteur de (déjà) quelques bonnes sorties au début des années 2000, il a donc donné suite l'an passé à son 'Sommeil Léger Ep' qui nous avait émoustillé les écoutilles. Et quelle suite!
Au programme, 5 titres presque entrelacés. Les quelques errements que l’on pouvait trouver sur son précédent disque (une production qui n’osait parfois pas assez et qui freinait des quatre fers là où il aurait fallu lâcher les chevaux), sont balayés, emportés par un son cristallin, lumineux qui donne une classe et une beauté renversante à l’ensemble. Tout scintille et brille d’une évidence et d’une clarté rare.
Les ambiances sont planantes, avec ce je-ne-sais-quoi de Sigur Ros. Mais Pumuckl conserve ce brin de folie qui lui sied si bien, comme sur Buprénorphine (voir plus bas), qui amoncelle scratchs et petites touches électros sous couvert de chœurs avant de lâcher la cavalerie avec quelques accords de guitares tendues à souhait.
En fin d’album, il donne même naissance au petit frère du titre Sommeil Léger, qui ouvrait l’Ep du même nom (et que j'avais mis en écoute dans la partie 'Track of The Day' avec Une Vie = Une Seconde (voir plus bas bis)). Un morceau qui devrait/aurait du faire un tube si l’industrie du disque ne marchait pas sur la tête. Pumuckl y chante en français, toujours avec ce même brin de voix à la Dominique A, le tout mené par une mélodie répétitive du meilleur effet.
Un an plus tard, le constat reste le même: 'Carbone' est un album ravissant, planant. Divin même. Ce type là a de l’or dans les pognes. Et même si ses disque ont une durée plutôt réduite à chaque fois (à peine une demi-heure ici), ils ne sont rien d’autres qu’un éternel émerveillement à chaque nouvelle écoute. Un jour, Pumuckl connaîtra le succès. Un jour, les gens se rendront compte de son talent. Vous ne pourrez pas dire que vous n’aurez pas été prévenu.
Pourquoi revenir là-dessus me direz-vous? Premièrement parce que l'artiste mérite franchement le détour, deuxièmement parce qu'à part sur certains webzine ce disque est honteusement passé inaperçu, troisièmement parce que cet album là revient régulièrement sur ma platine et enfin, dernièrement parce qu'il vient de se remettre au travail pour donner une suite à son 'Carbone' de 2006.
"Il", c'est Pumuckl (aka Stéphane Lherault), orléannais de son état. Un mec bluffant, tout simplement. Auteur de (déjà) quelques bonnes sorties au début des années 2000, il a donc donné suite l'an passé à son 'Sommeil Léger Ep' qui nous avait émoustillé les écoutilles. Et quelle suite!
Au programme, 5 titres presque entrelacés. Les quelques errements que l’on pouvait trouver sur son précédent disque (une production qui n’osait parfois pas assez et qui freinait des quatre fers là où il aurait fallu lâcher les chevaux), sont balayés, emportés par un son cristallin, lumineux qui donne une classe et une beauté renversante à l’ensemble. Tout scintille et brille d’une évidence et d’une clarté rare.
Les ambiances sont planantes, avec ce je-ne-sais-quoi de Sigur Ros. Mais Pumuckl conserve ce brin de folie qui lui sied si bien, comme sur Buprénorphine (voir plus bas), qui amoncelle scratchs et petites touches électros sous couvert de chœurs avant de lâcher la cavalerie avec quelques accords de guitares tendues à souhait.
En fin d’album, il donne même naissance au petit frère du titre Sommeil Léger, qui ouvrait l’Ep du même nom (et que j'avais mis en écoute dans la partie 'Track of The Day' avec Une Vie = Une Seconde (voir plus bas bis)). Un morceau qui devrait/aurait du faire un tube si l’industrie du disque ne marchait pas sur la tête. Pumuckl y chante en français, toujours avec ce même brin de voix à la Dominique A, le tout mené par une mélodie répétitive du meilleur effet.
Un an plus tard, le constat reste le même: 'Carbone' est un album ravissant, planant. Divin même. Ce type là a de l’or dans les pognes. Et même si ses disque ont une durée plutôt réduite à chaque fois (à peine une demi-heure ici), ils ne sont rien d’autres qu’un éternel émerveillement à chaque nouvelle écoute. Un jour, Pumuckl connaîtra le succès. Un jour, les gens se rendront compte de son talent. Vous ne pourrez pas dire que vous n’aurez pas été prévenu.
Son:
Site Officiel
Myspace (deux titres de 'Carbone', deux titres de 'Sommeil Léger Ep')
Le dernier titre en date
Pour acheter le disque, cliques ici l'ami(e)
Et histoire de faire les choses dans le bon ordre, deux titres en écoute, Buprénorphine et Une Vie = Une Seconde, malheureusement plus en ligne.
Site Officiel
Myspace (deux titres de 'Carbone', deux titres de 'Sommeil Léger Ep')
Le dernier titre en date
Pour acheter le disque, cliques ici l'ami(e)
Et histoire de faire les choses dans le bon ordre, deux titres en écoute, Buprénorphine et Une Vie = Une Seconde, malheureusement plus en ligne.
Un type qui met les excellents Gregor Samsa dans ses influences ne peut être que bon...
RépondreSupprimerAprès écoute la musique est bien, le chant je ne sais pas trop...
Très intéressant en tout cas !
c'est toujours étonnant comme Chauveau chante comme D Sylvian qui doit une de ses idoles en plus ...
RépondreSupprimerAh toi tu parles du titre d'Arca j'imagine? Oui, c'est pas faux en effet. Mais je prefere quand meme la voix de Crooner de Sylvian.
RépondreSupprimerSinon, pour info, le titre Buprenorphine est en ligne. Il ne marchait pas avant. Il faut se jeter dessus. Et ecouter. Bondieu.
besoin de verifier:)
RépondreSupprimerIf you think who i think you are, you got a mail tomorrow :)
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