C’est dingue comme en deux temps, trois mouvements et une lecture de leur bio, les Apples In Stereo m’ont paru éminemment sympathique. Et ce, avant même d’écouter une seule de leurs chansons. Jugez plutôt.
1 - leur nom leur vient d’une chanson de Pink Floyd. Mais pas tirée d’un album des années 70 ni même de 'The Wall' ou de 'The Dark Side of The Moon'. Que nenni chez ces Américains originaires du Colorado et de Denver : leur nom vient d’Apples and Oranges, un des tous premiers titres du Floyd, quand Barrett était encore aux commandes. On a vu pires références.
2 - le leader des Apples in Stereo – Robert Schneider – est le créateur d’Elephant 6, label ricain qui, depuis le début des années 90 (et malgré une interruption de quelques années), propose une structure pour indie bands talentueux et qui en veulent. Un collectif qui peut se targuer d'avoir dans ses rangs des groupes comme Olivia Tremor Control, Neutral Milk Hotel, Of Montreal et autres Beulah. Bref, du lourd.
3 - Robert Schneider, toujours lui, est un très grand fan de l’œuvre Beach Boys-ienne, allant même jusqu’à nommer son (puis celui d’Elephant 6) studio d’enregistrement "Pets Sounds Studio". Classe.
Bref, avant même d’avoir posé une esgourde sur ce ‘New Magnetic Wonder’, je savais déjà que j’allais aimer les Apples In Stereo. Une écoute complète de cet album, à première vue copieux mais seulement long d’une cinquantaine de minutes, plus tard, j’étais totalement conquis.
A l’heure où l’on se retrouve sans véritable meneuse de revue power-pop après l’abandon de Nada Surf l’an passé (avec un album bien décevant), la découverte des Apples in Stereo (qui compte toutefois déjà six albums à leur actif) est une bénédiction pour votre serviteur. Pop, pop-power, rock, la bande de Schneider arrive à faire de tons différents un disque d’une grande cohérence, avec des chansons à vous redonner le sourire, juste aérées par quelques plages de repos et/ou de transition façon interlude instrumentaux.
Et entre voix passées aux vocoder, chœurs dans tous les sens et guitares sautillantes partout, ‘New Magnetic Wonder’ est un disque qui fait du bien. De la power-pop de qualité. Pas étonnant que l’homme de goût qu’est Elijah Wood (le Frodon Saquet du Seigneur des Anneaux) ait fait de ce disque la première sortie officielle de son tout jeune label Simian Records. (sortie le 6 février 2007)
1 - leur nom leur vient d’une chanson de Pink Floyd. Mais pas tirée d’un album des années 70 ni même de 'The Wall' ou de 'The Dark Side of The Moon'. Que nenni chez ces Américains originaires du Colorado et de Denver : leur nom vient d’Apples and Oranges, un des tous premiers titres du Floyd, quand Barrett était encore aux commandes. On a vu pires références.
2 - le leader des Apples in Stereo – Robert Schneider – est le créateur d’Elephant 6, label ricain qui, depuis le début des années 90 (et malgré une interruption de quelques années), propose une structure pour indie bands talentueux et qui en veulent. Un collectif qui peut se targuer d'avoir dans ses rangs des groupes comme Olivia Tremor Control, Neutral Milk Hotel, Of Montreal et autres Beulah. Bref, du lourd.
3 - Robert Schneider, toujours lui, est un très grand fan de l’œuvre Beach Boys-ienne, allant même jusqu’à nommer son (puis celui d’Elephant 6) studio d’enregistrement "Pets Sounds Studio". Classe.
Bref, avant même d’avoir posé une esgourde sur ce ‘New Magnetic Wonder’, je savais déjà que j’allais aimer les Apples In Stereo. Une écoute complète de cet album, à première vue copieux mais seulement long d’une cinquantaine de minutes, plus tard, j’étais totalement conquis.
A l’heure où l’on se retrouve sans véritable meneuse de revue power-pop après l’abandon de Nada Surf l’an passé (avec un album bien décevant), la découverte des Apples in Stereo (qui compte toutefois déjà six albums à leur actif) est une bénédiction pour votre serviteur. Pop, pop-power, rock, la bande de Schneider arrive à faire de tons différents un disque d’une grande cohérence, avec des chansons à vous redonner le sourire, juste aérées par quelques plages de repos et/ou de transition façon interlude instrumentaux.
Et entre voix passées aux vocoder, chœurs dans tous les sens et guitares sautillantes partout, ‘New Magnetic Wonder’ est un disque qui fait du bien. De la power-pop de qualité. Pas étonnant que l’homme de goût qu’est Elijah Wood (le Frodon Saquet du Seigneur des Anneaux) ait fait de ce disque la première sortie officielle de son tout jeune label Simian Records. (sortie le 6 février 2007)
Son :
Myspace (Trois titres de cet album là et un autre de leur 'The Discovery of a World Inside the Moone’ de 2000)
Site officiel
Can You Feel It ouvre 'New Magnetic Wonder'. Beautiful Machine, Pts. 3-4 le (presque) referme. Une sorte de tour horizon rapide du disque avec deux titres sensiblement différents. (malheureusement plus en écoute).
Pour finir ce long post, deux vidéos, deux clips. Le premier est celui de 'Same Old Drag', assez hilarant. Et juste en dessous, celui d'Energy, tourné par Elijah Wood en personnne. Vintage 70s powa !
Myspace (Trois titres de cet album là et un autre de leur 'The Discovery of a World Inside the Moone’ de 2000)
Site officiel
Can You Feel It ouvre 'New Magnetic Wonder'. Beautiful Machine, Pts. 3-4 le (presque) referme. Une sorte de tour horizon rapide du disque avec deux titres sensiblement différents. (malheureusement plus en écoute).
Pour finir ce long post, deux vidéos, deux clips. Le premier est celui de 'Same Old Drag', assez hilarant. Et juste en dessous, celui d'Energy, tourné par Elijah Wood en personnne. Vintage 70s powa !
2 commentaires:
sympa tout plein dis donc
same old drag, ça a un ptit côté phoenix
Same Old Drag est particulièrement réussie :)
J'ai l'impression l'avoir déjà entendue dans un film. Peut-être 'L'amour extra-large'.
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