En 2002, John Darnielle, alors seul derrière le moniker de The Mountain Goats, avait publié 'All Hail West Texas', un disque rêche et lo-fi à souhait où l'américain, on l'apprit plus tard, mettait un point final à sa relation avec sa boite à rythme.
Vingt-et-un ans plus tard, The Mountain Goats vont publier la suite - en tout cas annoncée comme telle. Le disque s’appellera 'Jenny from Thebes', et fait référence au nom d'un des personnages de 'All Hail West Texas' (la chanson Jenny) - que John Darnielle s'est d'ailleurs amusé depuis à convoquer épisodiquement sur quelques albums.
Plutôt que de faire une suite du même acabit et de la même teneur musicale, John Darnielle a annoncé la couleur : faire le disque le plus imposant possible, à l'opposé de l'album original. Belle idée et qui s'entend sur le premier extrait, Clean Slate, premier extrait (et titre d'ouverture de 'Jenny from Thebes') sublime et lumineux, à l'orchestration léchée où des vagues de violons et un piano agile se disputent les faveurs de la mélodie, avant d'être rejoints par des cuivres jeunes et chaleureux.
Vingt-et-un ans plus tard, The Mountain Goats vont publier la suite - en tout cas annoncée comme telle. Le disque s’appellera 'Jenny from Thebes', et fait référence au nom d'un des personnages de 'All Hail West Texas' (la chanson Jenny) - que John Darnielle s'est d'ailleurs amusé depuis à convoquer épisodiquement sur quelques albums.
Plutôt que de faire une suite du même acabit et de la même teneur musicale, John Darnielle a annoncé la couleur : faire le disque le plus imposant possible, à l'opposé de l'album original. Belle idée et qui s'entend sur le premier extrait, Clean Slate, premier extrait (et titre d'ouverture de 'Jenny from Thebes') sublime et lumineux, à l'orchestration léchée où des vagues de violons et un piano agile se disputent les faveurs de la mélodie, avant d'être rejoints par des cuivres jeunes et chaleureux.
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