Délaissant un temps sa guitare folk et les ambiances d’un 'Here and Now' joli comme tout, David Fakenahm change de direction et reprend, en partie, celle de son premier album ‘Back From Wherever’, sous un nouveau nom, Warehouse.
Enfin en partie : si les guitares électriques sont de sortie, notre homme ajoute de la distorsion, des ambiances presque glaciales, de la noirceur un peu partout, des boites à rythmes et relance d’un coup de shoegaze.
Pour l’occasion, Pumuckl (autre artiste très apprécié dans ces pages) et Nine Fakenahm viennent lui donner un coup de main sur quelques morceaux (elle au chant, lui aux beats sur Everysingletime).
Il y a de tout sur ce ‘Warehouse’. Des balades (Supernatural People), des morceaux intriguant et presque organiques (Reverse, qui ouvre l’album), des chansons pop entêtantes (Everyone Knows It’s Time to Tell a Lie), du rock pur et dur mené de doigt de maitre par une basse métronome (Everysingletime) et une chanson vaporeuse comme on les aime (splendide Butterfly, tout en apnée).
David Fakenahm parachève même ce premier album de Warehouse par un Medicine de plus de neuf minutes, sombre et triste mais tenu tout du long et vraiment passionnant. Pas donné à tout le monde.
Un seul reproche peut-être : A Droplet In The Neck, belle composition dont la mélodie évoque A Wolf at The Door de Radiohead, quelque peu gâchée par un break mal maitrisé et une fin un peu trop rapide.
A part ca, c’est du tout bon. David Fakenahm change donc de registre une nouvelle fois, se fait plaisir (cette idée lui trottait déjà dans la tête à l’époque de ‘Here and Now’) et nous fait plaisir. Oui, ce genre de phrase, c’est un peu bateau, je l’admets. Mais c’est vraiment le cas. Parce que des chansons comme Butterfly, j’en veux tous les matins au petit déjeuner ! (sortie : 9 novembre 2009)
Nb : Le premier album de Warehouse est disponible au format physique pour 8€ et également en format digital, et ce sur toutes les plateformes (d’Itunes à fnacmusic en passant par Amazon). Pour plus d'informations, cliquez ici.
Enfin en partie : si les guitares électriques sont de sortie, notre homme ajoute de la distorsion, des ambiances presque glaciales, de la noirceur un peu partout, des boites à rythmes et relance d’un coup de shoegaze.
Pour l’occasion, Pumuckl (autre artiste très apprécié dans ces pages) et Nine Fakenahm viennent lui donner un coup de main sur quelques morceaux (elle au chant, lui aux beats sur Everysingletime).
Il y a de tout sur ce ‘Warehouse’. Des balades (Supernatural People), des morceaux intriguant et presque organiques (Reverse, qui ouvre l’album), des chansons pop entêtantes (Everyone Knows It’s Time to Tell a Lie), du rock pur et dur mené de doigt de maitre par une basse métronome (Everysingletime) et une chanson vaporeuse comme on les aime (splendide Butterfly, tout en apnée).
David Fakenahm parachève même ce premier album de Warehouse par un Medicine de plus de neuf minutes, sombre et triste mais tenu tout du long et vraiment passionnant. Pas donné à tout le monde.
Un seul reproche peut-être : A Droplet In The Neck, belle composition dont la mélodie évoque A Wolf at The Door de Radiohead, quelque peu gâchée par un break mal maitrisé et une fin un peu trop rapide.
A part ca, c’est du tout bon. David Fakenahm change donc de registre une nouvelle fois, se fait plaisir (cette idée lui trottait déjà dans la tête à l’époque de ‘Here and Now’) et nous fait plaisir. Oui, ce genre de phrase, c’est un peu bateau, je l’admets. Mais c’est vraiment le cas. Parce que des chansons comme Butterfly, j’en veux tous les matins au petit déjeuner ! (sortie : 9 novembre 2009)
Nb : Le premier album de Warehouse est disponible au format physique pour 8€ et également en format digital, et ce sur toutes les plateformes (d’Itunes à fnacmusic en passant par Amazon). Pour plus d'informations, cliquez ici.
Son :
Myspace (Quatre chansons de ce ‘Warehouse’ en écoute)
Site officiel
Deux chansons en écoute. Everyone Knows It’s Time to Tell a Lie, car c’est la chanson la plus pop et la plus efficace de ‘Warehouse’ et Butterfly car c’est la plus belle composition de l’album, tourmentée comme il faut. (malheureusement plus en écoute)
Myspace (Quatre chansons de ce ‘Warehouse’ en écoute)
Site officiel
Deux chansons en écoute. Everyone Knows It’s Time to Tell a Lie, car c’est la chanson la plus pop et la plus efficace de ‘Warehouse’ et Butterfly car c’est la plus belle composition de l’album, tourmentée comme il faut. (malheureusement plus en écoute)
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