Damon Albarn a parfois quelques bonnes idées, comme celle de créer Gorillaz (même s'il n'a rien inventé, Deltron 3030 était là avant) ou de mettre en veilleuse Blur (oui je suis méchant et c'est moche. Mais que voulez-vous).
Sa dernière en date, c'est Monkey et l'album 'Journey to The West': un opéra basé adaptation d'un roman chinois contant le voyage d'un roi singe. Un disque qui prend peut-être (et même sûrement) tout son sens sur scène, avec acteurs, danseurs et consorts.
Mais sans les images, ce disque est inutile, mauvais, raté, foiré. Je me demande encore pourquoi je parle de cet album. Ah oui, parce que dans cette mélasse insupportable à tous les niveaux, il reste un titre, Heavenly Peach Banquet, plutôt sympathique. Sinon? Sinon rien. Le néant.
Sa dernière en date, c'est Monkey et l'album 'Journey to The West': un opéra basé adaptation d'un roman chinois contant le voyage d'un roi singe. Un disque qui prend peut-être (et même sûrement) tout son sens sur scène, avec acteurs, danseurs et consorts.
Mais sans les images, ce disque est inutile, mauvais, raté, foiré. Je me demande encore pourquoi je parle de cet album. Ah oui, parce que dans cette mélasse insupportable à tous les niveaux, il reste un titre, Heavenly Peach Banquet, plutôt sympathique. Sinon? Sinon rien. Le néant.
Album: Journey to The West
Année: 2008
Label: XL
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