Eels, c'est un concert raté au Transbordeur de Lyon. Pourquoi l'avais-je raté en avril 1997 ? Je ne sais plus trop, et pourtant, que j'ai pu écouter 'Beautiful Freak' à sa sortie, que j'ai pu être hypnotisé par sa pochette. Et peut-être que l'avoir manqué sur scène à l'époque a brisé le lien que j'avais commencé à tisser avec lui.
Car au contraire de beaucoup de gens de ma génération, je n'ai suivi qu'en pointillé la carrière discographique de Eels, sans pourtant jamais être déçu quand je retombais sur notre homme. Son dernier album ('The Cautionary Tales Of Mark Oliver Everett' en 2014) était d'ailleurs brillant à plusieurs égards.
Car au contraire de beaucoup de gens de ma génération, je n'ai suivi qu'en pointillé la carrière discographique de Eels, sans pourtant jamais être déçu quand je retombais sur notre homme. Son dernier album ('The Cautionary Tales Of Mark Oliver Everett' en 2014) était d'ailleurs brillant à plusieurs égards.
'The Deconstruction' continue certes de ne pas surprendre (mais lui demande t-on ceci ?), même s'il a quelques élans qui rappellent Lee Hazelwood (You Are The Shinning Light). Et si l'album est trop dispersé pour totalement - me - convaincre, il n'empêche que Eels a toujours ce petit truc qui en font un des auteurs des plus passionnants, rendant la moindre mélodie plus belle que si elle avait été jouée et chantée par un autre. La preuve avec The Deconstruction, la chanson titre et sa production aux faux-airs hip-hop.
Album : The Deconstruction
Année : 2018
Label : E Works
En plus des playlists Spotify et Deezer (colonne de gauche de ce blog), The Deconstruction de Eels est également en écoute ci-dessous :
Enfin, Bone Dry, premier single de 'The Deconstruction' de Eels, est également à l'écoute ici, via son clip, très MediEvil dans l'esprit :
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