S’il est le nom d’une des cinq tribus fondatrices de la nation iroquoise (c’était le court instant wikipédia du jour), Oneida est aussi le nom d’un groupe originaire de Brooklyn et qui vient de fêter ses 20 ans.
Un groupe qui aura touché à beaucoup de choses en 20 ans : au psychédélisme, au noise, au rock simple et efficace mais aussi à l'expérimental. Entre autres choses.
Oneida aura joué toute sa carrière en deuxième division, alors que certains de ses disques aurait mérité clairement une qualification en Ligue des Champions. Foutues voies du succès sont décidément impénétrables.
Oneida aura joué toute sa carrière en deuxième division, alors que certains de ses disques aurait mérité clairement une qualification en Ligue des Champions. Foutues voies du succès sont décidément impénétrables.
Après cinq ans de silence, revoilà Oneida de retour aux affaires. Et ils nous font ça à l’ancienne : tout d’abord un 45-tours chez Joyful Noise (la face-A est en écoute ce jour) avant de sortir un double album au printemps prochain (qu’on peut raisonnablement imaginer voir sortir chez Jagjaguwar, leur label de - presque - toujours), qui ne contiendra pas ces deux chansons.
Parmi ces deux chansons, il y a la face-A donc, Town Crier, 2’50 mns pied au plancher, avec un gimmick des plus entêtant. Un retour un peu aux sources pour Oneida, rappelant assez 'Secret Wars'. Et ce n’est pas pour me déplaire, ce dernier faisant partie des tous meilleurs sortis dans les années 2000.
Album : Town Crier / Golden Age of the New Pariah 7"
Année : 2017
Label : Joyful Noise
En plus des playlists Spotify et Deezer (colonne de gauche de ce blog), Town Crier d’Oneida est également en écoute ci-dessous :
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