Toutefois, au contraire des héros de Steinbeck, The Mystery Lights n'ont pas connu la grande dépression et ont du partir de Californie pour enfin percer et être signés. Et, excusez du peu, par Wick Records, le sous-label rock de Daptone, maison mère soul de Sharon Jones, Charles Bradley ou plus récemment Jalen NGonda.
Découvert sur le tard (concrètement il y a une semaine par l'entremise de la toujours très sûre Marion FaceB), The Mystery Lights viennent de sortir leur quatrième album, 'Purgatory'. Un album entre garage et psyché à la sauce sixties, avec une aura soul qui parcourt toutes les chansons. Sans doute pas de quoi
crier au génie, mais l'ensemble est assez sûr de lui et carré pour enivrer l'auditeur. Des douze morceaux, on retiendra surtout les plus courts comme Don't Want No Need No, In The Streets ou Together Lost (en écoute aujourd'hui).
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