Éloignés des spotlights et radars de la scène indie actuelle, les Disq méritent sans doute mieux que leur - relatif - anonymat du moment. Après un premier album 'Collector' en 2020 qui ne manquait pas de qualité (et dont on pourra imaginer que le COVID a cassé la trajectoire), le quintet du Wisconsin est de retour en cet automne humide avec 'Desperately Imagining Someplace Quiet'. Un disque qui oscille entre chansons pop (If Only), légèreté mélodique (The Curtain) et hymnes rock réjouissants, dont la recette a été pour beaucoup trouvée dans les années 90, autant au début ((With Respect To) Loyal Serfs, The Hardest Part) qu'à la fin (Meant To Be, This Time).
Des douze morceaux présents ici, si on retiendra l'évident tube en puissance qu'est The Hardest Part, on jettera son dévolu sur Prize Contest Life, qui résume bien l'univers de 'Desperately Imagining Someplace Quiet' : une ouverture très nerveuse, avant que la pop ne reprenne ses droits avec une mélodie mélancolique imparable, tel un soleil qui trouerait des nuages amoncelés au-dessus de nos têtes, avant que la foudre et la tempête ne s'abattent à nouveau. Grande chanson pour un vrai bon Disq.
Autre chanson très réussie de 'Desperately Imagining Someplace Quiet' de Disq, voilà The Hardest Part :
Le clip du tube de 'Desperately Imagining Someplace Quiet' de Disq, The Hardest Part :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire