Je ne suis pas de ceux qui vouent un culte sans fin à 'No Cities Left'. Non pas que le deuxième (mais le premier à connaitre un vrai succès international) album des Dears soit un album raté, loin de là, mais plus parce que je trouve qu'il lui manque un je ne sais quoi pour que j'y adhère totalement.
Je lui préfère pour ainsi dire 'Gang of Losers', celui qui a suivi. Plus concis, perdant moins de temps dans des détours un peu ennuyeux. Plus passionnant pour être bref.
Si l'on omettra poliment de parler de 'Missiles', attardons nous le temps de quelques lignes sur le cinquième album des Dears, 'Degeneration Street'. Un disque succulent car pleins de guitares mélodieuses, d'ambitions Pulpienne et de chansons tonitruantes. Un grand disque très efficace et immédiat, qui ne fera sans doute pas date mais qui est savoureux de bout en bout. Avec en point d'orgue Galactic Tides dans le genre balade qui tue.
Je lui préfère pour ainsi dire 'Gang of Losers', celui qui a suivi. Plus concis, perdant moins de temps dans des détours un peu ennuyeux. Plus passionnant pour être bref.
Si l'on omettra poliment de parler de 'Missiles', attardons nous le temps de quelques lignes sur le cinquième album des Dears, 'Degeneration Street'. Un disque succulent car pleins de guitares mélodieuses, d'ambitions Pulpienne et de chansons tonitruantes. Un grand disque très efficace et immédiat, qui ne fera sans doute pas date mais qui est savoureux de bout en bout. Avec en point d'orgue Galactic Tides dans le genre balade qui tue.
Album: Degeneration Street
Année: 2011
Label: Dangerbird