'1000'. Encore un album que j'aurais du chroniquer depuis des semaines. Des mois même (il est sorti en janvier dernier).
J'ai souvent ce problème. Et cette année ne fait pas exception: quand je découvre un disque qui me fout une baffe en plein dans les gencives, soit j'en parle tout de suite, soit j'attends de trouver l'inspiration pour en parler le mieux possible.
Pour ce second album des bordelais de Cheveu, '1000' (à qui on accole parfois en toutes lettres Mille pour je ne sais quelle raison), je comptais en parler en long, en large et en travers. J'ai pensé à des intros, à des idées comme ça. Des comparaisons. J'en ai même jeté sur le papier, pour voir. Me lancer. Et puis non.
Et pourtant '1000' m'aura accompagné tout au long de cette année 2011. Mais impossible d'arriver à formuler réellement ce que cet album m'apportait et pourquoi il me plaisait autant.
Pour son rock/punk tortueux, débridé, noisy, hurleur où viennent se mêler violons et autres claviers cheap? Pour son côté j'm'en foutiste qui se dégage de chacune des compositions? Pour son énergie communicative? Pour sa concision (même pas 35 mns)? Pour mettre une chanson aussi parfaite que Bonne nuit chéri (en écoute aujourd'hui) en toute fin d'album? Surement un peu tout ça pour ainsi dire.
Ce qui est sur en tout cas c'est que ce disque allumé (et français mon ptit monsieur) est un album on ne peut plus sidérant. Et épatant.
J'ai souvent ce problème. Et cette année ne fait pas exception: quand je découvre un disque qui me fout une baffe en plein dans les gencives, soit j'en parle tout de suite, soit j'attends de trouver l'inspiration pour en parler le mieux possible.
Pour ce second album des bordelais de Cheveu, '1000' (à qui on accole parfois en toutes lettres Mille pour je ne sais quelle raison), je comptais en parler en long, en large et en travers. J'ai pensé à des intros, à des idées comme ça. Des comparaisons. J'en ai même jeté sur le papier, pour voir. Me lancer. Et puis non.
Et pourtant '1000' m'aura accompagné tout au long de cette année 2011. Mais impossible d'arriver à formuler réellement ce que cet album m'apportait et pourquoi il me plaisait autant.
Pour son rock/punk tortueux, débridé, noisy, hurleur où viennent se mêler violons et autres claviers cheap? Pour son côté j'm'en foutiste qui se dégage de chacune des compositions? Pour son énergie communicative? Pour sa concision (même pas 35 mns)? Pour mettre une chanson aussi parfaite que Bonne nuit chéri (en écoute aujourd'hui) en toute fin d'album? Surement un peu tout ça pour ainsi dire.
Ce qui est sur en tout cas c'est que ce disque allumé (et français mon ptit monsieur) est un album on ne peut plus sidérant. Et épatant.
Album: 1000
Année: 2011
Label: Born Bad
Pour en savoir plus sur '1000', je ne saurais que trop vous conseiller la lecture du billet de Thomas sur le Golb ou celle, concise et précise du Mmarsupilami.
Trois clips pour finir: celui de Charlie Sheen, tube noisy platine, No Birds aux violons déglingués et les Quattro Stagioni, version Cheveu :